Sarah Andrès
Dans la cité électrique, éditions Gallimard
Le 1er tome d’une trilogie fantastique haletante,
dans la lignée de À la croisée des mondes, des Orphelins Baudelaire et des Mystères de Larispem. Londres 1899. Grâce à un énigmatique message, Oscar, 12 ans, et sa petite sœur, Livie, partent à la recherche de leurs parents disparus. Mais en voulant jouer les explorateurs, ils se trouvent projetés à Londonium. Ici, dans cette ville extraordinaire, l’électricité est une arme, la lumière permet de créer des illusions fantastiques et les fantômes du temps savent être envahissants. Oscar va devoir faire face aux manigances d’un savant fou, qui
a concocté un remède miracle qui rend amnésique. Et pourquoi le redoutable sir Alexander, qui dirige la cité, s’intéresse-t-il tant aux deux enfants ?
Sarah Andrès est née en 1988 et a grandi dans un village si petit qu’il n’apparaît sur aucune carte. Fort heureusement, il était tout de même pourvu d’une bibliothèque municipale où elle passait un temps déraisonnable. Cela devait préfigurer une vie à fréquenter les bibliothèques du monde entier : des très sérieuses aux livres remplis de langues que plus personne ne lit, des ouvertes la nuit, des grandes comme des placards ou dotées de coupoles gigantesques. C’est durant la rédaction de sa thèse sur la sculpture ancienne qu’elle écrit le tome inaugural de la
trilogie Dans la cité électrique et figure ainsi parmi les trois finalistes du concours du premier roman Gallimard Jeunesse – RTL -Télérama 2018. Depuis, elle est devenue docteur en Histoire de l’art, ce qui ne lui donne absolument pas le droit de soigner les gens !
Présence sur le Salon
-Dimanche 4 décembre
Atelier Jeunesse d’écriture « La boîte à outils d’un écrivain en herbe »
-Dimanche 4 décembre, 15h-16h – Sur Inscription.