Hôtel de ville et Espace Landowski

Dans cette nouvelle édition, Corinne Lalo fait un état des lieux des dernières études scientifiques sur les perturbateurs
endocriniens et développe particulièrement les problématiques suivantes :

l’infertilité, qui se traduit dans la baisse historique des naissances.
Tout cela s’inscrit dans une réflexion d’ensemble sur ces produits chimiques, les perturbateurs endocriniens qui ont envahi
notre environnement et représentent une menace pour la biodiversité et l’espèce humaine elle-même. En cinquante ans, les
hommes ont perdu plus de la moitié de leurs spermatozoïdes et leur taux de testostérone décline. Les femmes voient leurs
capacités de reproduction décroître, notamment avec la montée de nouvelles maladies ovariennes. Des maladies autrefois
rarissimes comme le diabète, l’obésité, les dysfonctions de la thyroïde, l’endométriose deviennent communes.
Ce livre dresse un pont entre la recherche scientifique et le grand public. À l’aide de dessins explicatifs, Corinne Lalo y
décrypte le phénomène de l’empoisonnement chimique de nos cellules et donne des conseils pour se protéger, car si nous
sommes cernés par les perturbateurs hormonaux, nous pouvons apprendre à les reconnaître et ainsi à mieux les éviter.

les médicaments et contraceptifs hormonaux que l’on retrouve trop souvent dans l’eau du robinet ;

les drogues qui perturbent le système hormonal et immunitaire ;

le scandale des opiacés ;

la présence croissante des microplastiques dans le sang des êtres vivants ;

les dangers de la « mode » de la médicalisation hormonale des adolescents en lien avec les questions sur le genre ;

Corinne Lalo, journaliste grand reporter à la télévision depuis trente ans, spécialisée dans la santé, a couvert de grandes
affaires telles que celles du sang contaminé, du « nuage de Tchernobyl », de la vaccination contre l’hépatite B, de la grippe
H1N1 et du Mediator. Elle est coauteure du Livre noir du médicament (Plon) et de Se soigner sans médicaments de A à
Z
(le Cherche Midi).

Présente au salon le samedi