Hôtel de ville et Espace Landowski

Pourvu que mes mains s’en souviennent, éditions Belfond

(c)Chloé Vollmer

On ne sait pas bien ce qu’il se passe dans ce château cerné par des champs de tournesol, dans cette étrange colonie de vacances. Certains pensionnaires sont là de leur plein gré, d’autres ont été arrachés à leur famille.
On tâtonne dans le noir aux côtés de Louise, la narratrice. Ici et là, on entend parler de mauvais traitements, certains sont abrutis par les médicaments, d’autres disparaissent du jour au lendemain. Perdue, Louise n’a qu’une obsession : sauver sa peau. Prête à tout, elle décide de s’échapper grâce à un projet aussi fou que secret. Avec l’aide de deux de ses camarades, Juliette, l’armoire à glace qui passe sa vie à pleurnicher, et Simon, le bricoleur amoureux d’elle, Louise va tout risquer pour quitter cet enfer… À moins que tout cela ne soit qu’une vue de l’esprit.
Un premier roman hors des sentiers battus, qui cache une révélation complètement inattendue.

 

 

 

Quentin Ebrard est né en 1991. Originaire des Cévennes, il est responsable de
communication pour la Fondation François Sommer, connue pour le salon du
livre « Lire la nature », son Prix littéraire éponyme et pour le musée de la Chasse
et de la Nature. Il est également bookstagrameur. Pourvu que mes mains s’en
souviennent est son premier roman.

Présence sur le Salon : 
Dimanche 10 décembre